Les intérêts des autres
Mon ami Jaime travaille pour une énorme société internationale. À son arrivée dans cette société, un homme est passé par son bureau, a amorcé une conversation avec lui et lui a demandé ce qu’il faisait là.
Un « homme nouveau »
En visite avec un groupe d’adolescents dans une maison de retraite de Montego Bay, en Jamaïque, une jeune femme a remarqué un homme qui semblait esseulé au fond de la pièce. On aurait dit qu’il ne lui restait plus dans la vie que le lit auquel son handicap l’avait cloué.
« J'ai vraiment peur... »
J’ai vraiment peur. » Voilà le mot émouvant qu’une adolescente a affiché pour ses amis sur Facebook en leur parlant des examens médicaux qu’elle allait devoir passer.
Ici pour servir
L’heure était venue pour notre Église d’envoyer un nouveau groupe de leaders. En guise de symboles de leurs rôles de serviteurs‑leaders, les autorités de l’Église ont participé à une cérémonie mémorable de lavage de pieds. Tous les leaders – y compris le pasteur – se sont lavé les pieds les uns aux autres sous le regard des membres de l’assemblée.
Des sosies
Selon les gens, nous avons tous un sosie. Une personne avec qui nous n’avons aucun lien de parenté, mais qui nous ressemble comme deux gouttes d’eau.
Chanter avec Violet
Une dame âgée du nom de Violet s’est assise sur son lit dans une infirmerie de la Jamaïque tandis que quelques adolescents lui rendaient visite. Même si l’air étouffant et humide du milieu de la journée avait envahi son petit espace de vie, elle ne s’en est pas plainte. Au lieu de cela, elle a fouillé sa mémoire pour trouver une chanson à chanter. Puis avec un grand sourire, elle a entonné : « Je cours, je bondis, je saute en louant le Seigneur ! » En chantant, elle balançait les bras comme si elle était en train de courir. Ses visiteurs en ont eu les larmes aux yeux, car Violet n’avait pas de jambes. Voici la raison qu’elle a donnée pour expliquer qu’elle avait le coeur à chanter : « Jésus m’aime – et au ciel j’aurai des jambes pour courir. »
Apprendre la langue
Me tenant devant une petite assemblée jamaïcaine, je me suis ainsi adressé à elle en employant mon meilleur dialecte local : « Wah Gwan, Jamaica ? » Or, cette salutation m’a valu une réaction allant au‑delà de mes espérances : un accueil riche en sourires et en applaudissements.
Un coeur compatissant
Nous étions sept à tenter de nous asseoir dans la même rangée pour assister à un concert donné dans un parc d’attractions bondé, mais une femme est venue vite s’interposer entre nous. Ma femme lui a alors indiqué que nous souhaitions rester ensemble, mais la nouvelle venue lui a répondu « Tant pis ! » en s’installant là malgré tout avec ses deux compagnons.
Ce n’est pas moi
En vacances, j’ai donné congé à mon rasoir en me laissant pousser la barbe. Mes amis et mes collègues y ont réagi de diverses manières, me complimentant pour la plupart. À la vue de ma barbe, j’ai toutefois décidé un jour qu’elle ne me représentait pas bien, alors j’ai ressorti mon rasoir.
Le pays « Ce qui est »
Même après toutes ces années depuis la perte en 2002, de notre fille Melissa, décédée dans un accident de voiture à l’âge de 17 ans, je me surprends encore parfois à entrer dans le pays « Et si ». En proie à la tristesse, il est facile de réinventer les événements d’une soirée fatidique du mois de juin selon des facteurs qui – si on les réorganisait – ramèneraient Mel saine et sauve à la maison.